L'Ecole Suisse de Thérapratique avec enseignante agréée AST!
L'Ecole Suisse de
Thérapratique à Genève passe en 2016 de la quantité à la qualité et de
l'ASCA à l'AST!
Avec un enseignement axé sur la Synergie des Thérapies naturelles, elle
devient logiquement la première école avec une enseignante agréée AST -
Association de Synergie Thérapeutique - jeune association présidée par des
thérapeutes au service des thérapeutes!
E C O L E S U I S S E D E
T H E R A P R A T I Q U E
Première école avec enseignante agréée AST
L'AST - Association de Synergie Thérapeutique - est une association lancée
en 2016 pour crédibiliser les Thérapies Naturelles via une orientation
qualitative claire.
► S’orienter vers le sérieux, la qualité des soins, la cohérence de vie et
la déontologie.
► Promouvoir la synergie des thérapies naturelles, c'est à dire
l'association de plusieurs techniques au sein d’une même séance afin
d'offrir un traitement holistique au plus près des besoins de ses patients.
► Distinguer les thérapeutes des praticiens appliquant un protocole unique.
► Crédibiliser les soins naturels auprès des assureurs et du public.
► Faire reconnaître la Synergie Thérapeutique au niveau fédéral c'est-à-dire
l'idée qu'il est préférable d'avoir plusieurs cordes à son arc et une réelle
compréhension - et non un protocole strict - pour obtenir des résultats.
► S'associer aux assurances complémentaires les plus sérieuses tout en
restant indépendant.
► Défendre les intérêts de ses membres face aux imposteurs.
► Favoriser la formation et la coopération entre professionnels.
► Ne pas accréditer quasiment toutes les écoles pour faire du chiffre mais
uniquement les meilleurs enseignants de Suisse.
► Ne pas accréditer automatiquement les diplômés mais organiser les examens
et analyser individuellement les dossiers, en toute transparence!
► Organiser des formations, des conférences et des rencontres entre les
professionnels et le public.
Une association indépendante à but non lucratif présidée par des thérapeutes
avec une différence qualitative clairement revendiquée:
Autres organismes*
AST
Méthodes
1 technique
3 techniques minimum
Formation initiale
150 heures
300 heures
Séances
Protocolaires
Synergie Thérapeutique
APP (anatomie…)
Trop souvent bachotage*
Compréhension
Pratique
Très limitée*
200 heures minimum
Examens
Via les écoles et parfois de complaisance*
Organisés par l’AST et donc sérieux
Agrégation
Plus de 300 Ecoles agréés*
Formateurs agréés uniquement
Membres
Aucune limite
80 membres maximum / année
Lieu d’exercice
Presque n’importe où*
Cabinet correctement équipé
Titre
Thérapeute agréé
Qualithérapeute®
* Variable selon les "organismes" ou association et les écoles: de nettes
différences qualitatives existent heureusement !
Une motivation à faire les choses différemment ? Des idées ? L’AST, jeune
association, accueille toutes les bonnes volontés afin de faire enfin bouger
les choses en Suisse et crédibiliser les Thérapies Naturelles en synergie:
Pourquoi rejoindre l'AST ?
Avantages (Masso)Thérapeutes
Avantages Ecoles / Enseignants
Se distinguer via une orientation qualitative
Rajouter une perspective qualitative
Formations et Cursus plus libres (étranger, APP,…)
Enseignements plus libres et cohérents
Examens plus sérieux organisés par l'AST
Examens contrôlés plus objectifs
Promotion internet qualitative
Distinction internet qualitative
Réductions produits et formations
Equipement à coûts réduits.
Accompagnement professionnel
Moindres risques de suspension illicite
Devenir Qualithérapeute®
Devenir enseignant Qualithérapeute®
Thérapeute, Enseignant ou Assureur, pensez à la qualité, passez à l’AST !
Et pourquoi plus l'ASCA ?
L'EST a été accréditée ASCA dès sa création en 2007 et jusqu'en 2016,
devenant notamment la première école à être accréditée "Massage
Thérapeutique" dès 150 heures de formation (année 1), une reconnaissance
explicite de la qualité de notre enseignement!
En juillet 2016, durant nos vacances, elle a été subitement exclue parce que
nous refusions de signer une Convention bancale de l'ASCA, imposée sous la
contrainte d'une suspension que nous estimions totalement infondée et donc
illicite, puis d'une prise en otage (heureusement passagère) de nos élèves
diplômés. Voir Les scandales ASCA.
Dans ces circonstances, au vue de l'absence manifeste de déontologie des
dirigeants de l'ASCA liée à leur arrogance démesurée, actant en outre du
fait que cette Fondation fonctionne sous contrôle de deux avocats (Père et
Fils) qui pourraient avoir un intérêt financier à envenimer des litiges, il
nous est naturellement impossible de continuer à les soutenir.
Bref, nous voilà libres de l'ASCA ce qui, une fois le coût financier
important digéré - nous avons perdu toutes les nouvelles inscriptions à
notre cursus 2016-2017 ainsi qu'une bonne partie de l'intérêt pour nos
formations continues - nous permet d'envisager les choses différemment:
► Un cursus plus rapide et pratique. L'ASCA, peut-être sous la pression de
son comité de médecins (?), demande pour certaines disciplines un nombre
d'heures très important ce qui se traduit parfois in fine par du remplissage
déconnecté de la pratique. Exemple avec les 1500 heures + 350 APP demandés
pour la Naturopathie MCO.
Notre cursus de Naturopratique est nettement moins long mais il est
immédiatement applicable et les fondamentaux y sont! La preuve avec notre
formation de Nutrithérapie sur deux jours: deux naturopathes agréées nous
ont avoué y avoir appris plein de chose!
► Un cursus plus cohérent. L'ASCA limite parfois l'accès à certaines
disciplines en demandant des formations complémentaires. Exemple avec
l'électro-acupuncture qui requiert d'être acupuncteur alors que la prise en
main de l'appareil demande à peine quelques heures! Exemple avec
l'aromathérapie qui requiert d'être phytothérapeute ou naturopathe !
Nos 3 WE de formation avec Jacques Staehle, la référence mondiale de la
discipline, permet d'être immédiatement opérationnel! Nos 2 jours de
formation en aromathérapie, associé à notre livre pratique, offre une
compréhension intime des huiles essentielles, loin de certains cours
beaucoup plus longs...
► Un cursus plus complet. A l'inverse, l'ASCA permet parfois de se dire
Thérapeute alors que les bases du métier ne sont pas abordées ou maîtrisées.
Il est ainsi possible d'être "Acupuncteur agréé" sans avoir aucune notion du
massage chinois Tuina, une aberration selon la MTC (Médecine Traditionnelle
Chinoise) puisque le Tuina fait partie des 5 piliers de la santé et débouche
naturellement sur... l'acupuncture!
Notre cursus fait les choses dans l'ordre avec, au départ, une synergie des
techniques manuelles et, à la fin seulement, pour ceux qui le souhaitent,
une formation en acupuncture en Chine!
► Un coaching sur-mesure. Une agrégation ne signifie pas que l'on soit
capable de travailler en confiance à soigner ou soulager des patients. Loin
de là! La faute à des formations parfois coupées du concret, trop
protocolaires, lacunaires, sans cohérence et/ou déconnectées des besoins du
marché. Quand là dessus l'examen est en plus de complaisance, on voit mal
comment le diplômé pourrait avoir confiance en ses compétences !
A toutes les personnes agréées qui n'y arrivent pas mais qui sont dans un
bon état d'esprit qualitatif, l'EST propose un bilan de compétence, des
formations complémentaires et un lancement professionnel via le concept de
Qualithérapeute®.
► Une agrégation qui ne signifie pas forcément grand chose du point de vue
qualitatif. Avec plus de 300 écoles agréées (moins l'EST donc!), les
diplômés sont quasi-assurés (pour autant qu'ils payent leurs frais
d'inscription et de cotisation annuelle) d'être agréés ASCA, quelque soit
leur sérieux, leur déontologie, leur cohérence de vie mais aussi parfois
leur compétence puisque de très nombreux examens se révèlent être de
complaisance...
L'EST, au contraire, insiste sur une cohérence globale et organise ses
examens de manière sérieux, au travers de l'AST et de ses examinateurs
indépendants.
► Un véritable lancement professionnel. Tant que le thérapeute agréé paye
ses cotisations et suit ses 16 heures de formation continue, l'ASCA
n'intervient quasiment plus dans le contrôle des thérapeutes. Le succès ou
l'échec n'est pas de son ressort, de même que la qualité de ses prestations
puisque le thérapeute est officiellement agréé et donc officiellement
compétent. Concurrencer ce thérapeute agréé en agréant des milliers d'autres
thérapeutes tous les ans ne semble pas non plus poser de problème. De toute
manière, les assurances complémentaires ne sont-elles pas là pour aider
financièrement le thérapeute agréé à se constituer patiemment une patientèle
?
Nous avons confiance dans la qualité de nos formations et donc dans la
compétence de nos élèves diplômés et nous considérons donc comme naturel de
les aider à se lancer professionnellement via notre concept de
Qualithérapeute voire nos centres de thérapies.
► Une indépendance vis-à-vis des assurances complémentaires. Les deux plus
gros organismes se sont constituées autour et grâce aux assureurs. Nous
constatons néanmoins depuis quelques années, à mesure que le nombre de
thérapeutes explosait, un déremboursement de plus en plus fréquent des
massages et une pression administrative plus forte, comme si les assureurs
n'avaient pas confiance dans la qualité des traitements et des
thérapeutes...
In fine, les patients en souffrance veulent moins être remboursés qu'être
guéris. Quelqu'un qui paye de sa poche s'impliquera aussi davantage dans son
traitement. Une patientèle de qualité est ainsi tout à fait possible sans la
perfusion des assurances.
► Une coopération entre thérapeutes. Accréditer quasiment tout le monde (via
les écoles agréées) créé in fine une concurrence gigantesque entre les
thérapeutes et entre les méthodes. Des thérapeutes correctement formés se
retrouvent ainsi trop souvent confrontés à une pléthore de pseudo
thérapeutes agréés susceptibles de décrédibiliser leur méthode et la
profession dans son ensemble.
En relevant le niveau via le concept de la Synergie Thérapeutique, nous
distinguons les thérapeutes des praticiens et des incompétents. Nous
incitons également les Qualithérapeutes à coopérer dans l'intérêt des
Thérapies Naturelles et des patients.
► Être partenaire d'une association de thérapeutes. Combien de thérapeutes
dans les instances dirigeantes de l'ASCA ? Le Président de l'ASCA est
avocat. Son fils, amené apparemment à prendre la Direction de l'ASCA est
également avocat. Est-il surprenant dans ces conditions qu'un litige avec
une école soit immédiatement transmis au service juridique, sans possibilité
d'aucune discussion préalable ? Bienvenue dans un monde de droit qui part
selon nous complètement en vrille! Au fait, l'ASCA n'est plus une
association mais une Fondation! Cela lui permet notamment de n'avoir de
comptes à rendre à personne...
L'EST est amené à s'associer uniquement avec de vraies associations de
thérapeutes au services des thérapeutes. Eh oui il en existe! L'AST, par
exemple, ou encore l'APTN, de jeunes associations naturellement moins
orientées sur le quantitatif...
► Une vraie formation et non une "garderie bien-être" destinée à booster
l'ego. Le système quantitatif a tout intérêt à faire croire que n'importe
qui est fait pour le métier: c'est, via les frais d'inscription et de
cotisation, ainsi beaucoup plus rentable! Que des milliers de pseudo
thérapeutes n'arrivent ensuite pas à vivre dignement de leur profession ou,
plus grave, fassent des dégâts et décrédibilisent les soins au naturel est
un effet secondaire trop rarement abordé... Chut! Ne surtout pas faire
penser que tout le monde n'est pas fait pour le métier...
L'EST a renforcé tous les ans sa sélection d'élèves afin de pouvoir assurer
une réelle formation auprès de personnes mâtures jouissant d'un minimum de
cohérence de vie! Il nous arrive encore ponctuellement de nous tromper mais
nous n'avons au moins jamais donné notre diplôme à quelqu'un qui n'avait pas
véritablement réussi son examen! Combien d'écoles peuvent en dire autant ?
Pas celles en tout cas qui organisent des examens de complaisance...
► Enfin, une liberté de parole. L'ASCA a essayé de nous museler en essayant
de nous faire signer sa Convention. Or, beaucoup de choses vont mal dans le
secteur des thérapies naturelles et il faut le dire! Exemple déjà
ci-dessus... Globalement, l'approche quantitative marque ses limites et ne
tient que grâce à la générosité des assureurs - qui déremboursent quand même
de plus en plus. Il est temps de passer à la qualité! A cet égard, n'est-il
pas significatif que l'ASCA ait justement choisi d'exclure une des écoles
qui avait mis en place le plus de contrôle, de cohérence et de sérieux dans
la formation et le passage de ses examens ?
L'EST continuera de dire la vérité afin d'essayer de crédibiliser les
thérapies naturelles face à la médecine allopathique. Globalement, un ménage
doit être fait et ce n'est malheureusement pas, en l'état, le projet de
diplôme fédéral qui permettra de le faire (voir plus bas). Face à la
quantité, il est temps de passer à la qualité!
Sur ce sujet, voir également l'article dynamique:
"Scandale Suisse: Les thérapies naturelles en perdition".
Et le diplôme Fédéral Suisse ?
Des écoles font courir des rumeurs pour mieux vendre leurs formations...
D'autres font croire qu'elles sont mieux placées que d'autres pour obtenir
le diplôme fédéral...
La vérité est qu'un dialogue est effectivement entamé avec un certain nombre
d'acteurs des thérapies naturelles (malheureusement pas toujours les bons)
afin de parvenir à un diplôme Fédéral Suisse mais que rien n'est encore
aboutit. Voilà près de dix ans que nous entendons parlé de cette
reconnaissance éventuelle et nous l'attendions avec impatience, pensant
qu'elle permettrait enfin de faire un minimum de tri entre les praticiens...
En l'état actuel des discussions et suite à un échange avec M. Jean-Michel
Plattner, M. Christoph Meier et M. Bruno Kapfer de L'organisation du Monde
du Travail Thérapie Complémentaire et lecture du site internet (OrTra TC),
voici ce qui ressort (mis à jour en juillet 2014):
Aucune écoles ne sera accréditée pour la délivrance de ce diplôme fédéral.
Des formations d'écoles seront accréditées pour le Certificat de Branche
mais il en coutera alors aux écoles environ CHF 3500 tous les 3 ans, coût
qui sera évidemment répercuté sur l'écolage.
17 méthodes ont été reconnues à ce jour mais la liste n'est pas close. Il
s'agit surtout des plus "nouvelles" et des mieux organisées (sous forme
d'association) du point de vue de la représentation ou du marketing,
aucunement des plus thérapeutiques.
Chaque praticien d'une méthode reconnue devra constituer son dossier et
passer un examen.
Une partie de cet examen portera sur l'Anatomie-Physiologie-Pathologies ce
qui signifie qu'un certain nombre d'anciens praticiens ASCA devront bien se
mettre à niveau.
Une autre partie portera sur l'approche émotionnelle et déontologique des
praticiens (il était temps!)
Une pratique professionnelle de deux ans minimum (peut-être trois ans) sera
demandée.
La supervision d'un thérapeute "expert" sera obligatoire avant d'obtenir
enfin le "Diplôme Fédéral"
La procédure complète durera donc plusieurs années.
Le coût supporté par le candidat sera de plusieurs milliers de CHF
Ego excepté, le jeu en vaut-il donc la chandelle ? En effet:
La mise en place du diplôme fédéral ne devrait rien changer à l'agrégation
ASCA mais constituera une reconnaissance supplémentaire.
La mise en place du diplôme fédéral ne devrait rien changer au remboursement
des soins par les assurances complémentaires.
En matière de crédibilité des thérapies naturelles, ce projet de diplôme
fédéral est en l'état très loin du compte! Comment prendre au sérieux un
projet qui, par exemple, reconnaît la Kinésiologie mais pas le massage
chinois alors que la kinésiologie est une simplification de cette approche
énergétique ? Quelle est la cohérence à reconnaître le curieux "Travail
Corporel Aquatique" mais pas le fameux drainage lymphatique ou la
réflexothérapie ?
Ce diplôme fédéral ne représenterait ainsi qu'une minorité de praticiens.
Dixit les responsables de l'OdA KTTC eux-mêmes: "Les meilleurs thérapeutes
seront exclus du système" En effet, ils ne rentreront pas dans les cases...
étant thérapeutes et non praticiens!
L'absurdité de ce dernier constat va - suite à notre intervention le 16
juillet - être adressé en commission durant l'été 2014, afin d'envisager une
procédure d'équivalence pour tous les professionnels. Ce serait une victoire
du bon sens sur l'administratif et nous sommes confiant dans la volonté de
l'OrTra TC d'améliorer enfin les choses.
Seul vrai mérite selon nous pour le moment: le diplôme fédéral devrait faire
le ménage au sein de tous les diplômés des méthodes spécifiquement
reconnues. Exit par exemple les mauvais kinésiologues ou praticiens en
shiatsu! A partir du moment où une méthode sera spécifiée, l'absence de
diplôme fédéral apparaitra en effet comme suspecte aux yeux du grand
public... Le diplôme fédéral fera donc en quelque sorte le travail que les
écoles auraient du faire en amont: ne pas remettre le diplôme à n'importe
qui et condamner les autres à retourner à des études ou à une hygiène de vie
de base!
De même, en demandant un minimum de deux (ou trois) années de pratique, la
plupart des mauvais praticiens de ces techniques auront déjà eu le temps de
disparaître, fautes de patients!
Enfin, avec aussi peu de méthodes reconnues, la concurrence sera telle sur
un marché aussi limité que les chances de succès et d'épanouissement en tant
que praticien seront limitées.
Dans ce sens, les (Masso)Thérapeutes formés à la synergie thérapeutique
seront plus tranquilles et pourront se préoccuper davantage de leurs
patients que de leur ego. Ils seront ainsi dans les meilleures conditions et
dispositions pour défendre leurs compétences via la procédure d'équivalence
qui devrait être instaurée. En effet, la crédibilité de la profession ne
réside pas dans l'application rigoureuse du protocole d'une technique unique
mais dans la flexibilité à adapter un maximum de techniques thérapeutiques à
ses patients, au plus près de leurs besoins...
Fondation ASCA pour la reconnaissance et le développement des thérapies
alternatives et complémentaires
Constituée le 21 avril 1991, la Fondation ASCA est un organisme indépendant
et sans but lucratif qui regroupe, aujourd’hui environ 10 000 thérapeutes de
toute la Suisse. Tous les partenaires du système suisse de santé forment des
groupes d’intérêts parmi lesquels les thérapeutes non médecins ont trouvé
une place. En exigeant des critères de qualité dans la formation des
thérapeutes et dans l’exercice de leurs professions, la Fondation ASCA
contribue à son rôle positif d’acteur dans la santé publique et consolide la
position des thérapeutes pour le futur. Détails sur http://www.asca.ch
L'ASCA accrédite des écoles ce qui signifie qu'un élève diplômé de l'EST
sera automatiquement agréé à l'ASCA, pour autant qu'il remplisse
correctement son dossier d'inscription et règle sa cotisation annuelle. Dès
la fin de la première année, un élève diplômé de l'EST peut ainsi être agréé
en "Massage Thérapeutique" et commencer à faire rembourser ses prestations
par des assurances complémentaires.
Les soins des thérapeute agréés A.S.C.A. sont remboursés par les assurances
complémentaires suivantes, sans ordonnance et sans franchises, de 50 à 90%
selon les contrats:
1 GROUPE MUTUEL www.groupemutuel.ch
1.1 AVENIR Assurances Maladie SA
(Avenir, CMBB, St. Moritz)
1.2 PHILOS Assurances Maladie SA
(Philos, Avantis, Fonction publique, Troistorrents, Panorama, EOS)
1.3 Easy Sana Assurances Maladie SA
(Caisse Vaudoise, Hermes, Easysana)
1.4 Mutuel Assurances Maladie SA
(Mutuel, Universa, Natura)
Exemple de Remboursement du Groupe Mutuel:
CHF 70.- par séance
2000 à 6000 CHF max par an
pas de franchise
2 AMB Assurance-maladie et accidents www.amb-assurance.ch
3. CAISSE MALADIE DE WÄDENSWIL www.kkwaedenswil.ch
4 SWICA www.swica.ch
5 SANITAS (Sanitas & Wincare) www.sanitas.com
6 INTRAS www.intras.ch
Exemple de remboursement Intras*:
90% par séance
1000 ou 2000 CHF max par an
pas de franchise
un massage de 90 mn revient donc à CHF 15.- seulement!
7 SUPRA (uniquement pour NATURA qui ne doit pas être confondu avec Natura
R3) www.supra.ch
8. VIVAO SYMPANY, MOOVE SYMPANY www.vivaosympany.ch
9. RHENUSANA www.rhenusana.ch
Le Registre de Médecine Empirique RME (Service de l'Eskamed S.A.)
Il n'existe malheureusement pas de formation officiellement reconnue dans le
domaine de la médecine complémentaire et alternative. Théoriquement chacun
peut donc se nommer «thérapeute» et effectuer des traitements, en dépit du
fait qu'il ne dispose que d'une formation insuffisante ou d'aucune
formation.
C'est pourquoi, le RME a développé un système d'assurance de la qualité
permettant d'examiner la formation, l'expérience pratique et la formation
continue régulière des thérapeutes exerçant la médecine complémentaire et
alternative. À l'instar des autres systèmes de qualité (p. ex. Certification
ISO; labels bio, etc.), ce système consiste à examiner uniquement si la
formation du thérapeute correspond aux critères de qualité RME. Si tel est
le cas, le thérapeute reçoit le label de qualité RME.
Le label de qualité RME apporte une contribution essentielle non seulement à
la protection des patients, mais aide aussi les thérapeutes, bénéficiant
d'une solide formation, à se démarquer des prestataires de méthodes
alternatives dont la formation est insuffisante.
Actuellement, environ 16'000 thérapeutes en Suisse et, en partie, dans les
pays limitrophes, sont détenteurs du label RME. Détails: http://www.rme.ch/
Toutefois, le RME ne reconnaît pas d'écoles en amont et il appartient donc à
l'élève de réunir l'ensemble des documents demandés, de défendre son
dossier... et de s'armer de patience.
Ecole Suisse de Thérapratique
9 rue du Vélodrome 1205 Genève, Suisse
Tél: + 41 (0)22 320 8886 ecole[at]therapratique.com
© Ecole Suisse de Thérapratique - Tous droits réservés
Données indicatives non contractuelles et susceptibles de modifications
La
philosophie de l'école suisse de thérapratique
L'Ecole Suisse de Thérapratique à Genève: Être, Savoir, Transmettre!